Quand le crocodile prend le contrôle, nous avons la sensation d’être notre colère, notre fatigue ou notre angoisse, et de ne plus être que cela. Nous sommes « associés » à notre émotion.
Première chose à faire pour piloter nos réactions internes : nous « dissocier » de notre réaction instinctive.
Notre crocodile a besoin d’être écouté. En prêtant attention à ce qui se passe en nous, nous permettons à la vapeur de s'échapper de la cocotte-minute. Les signaux qu’il envoie visent à nous faire réagir rapidement face à un danger : si nous ne répondons pas, la sonnerie va continuer à nous vriller les oreilles ou à nous prendre aux tripes.
dimanche 21 janvier 2007
Reconnaissons notre état
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